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Notice biographique

Gabriela MOGA LAZAR est née en Roumanie, dans la région de Transylvanie. Elle a fait ses études à Cluj, capitale de sa province natale.  Par la suite, elle a travaillé dans l'enseignement à Iasi, l'ancienne capitale de la Moldavie, ville universitaire de 400.000 habitants (située au nord-est de la Roumanie).

Son travail d'enseignante dans le domaine de la tapisserie et la coopération avec les ethnographes du Musée Ethnographique de la Moldavie, l'ont menée à créer des œuvres qui   font la jonction entre l’art traditionnel et l'art moderne. Professeur au Lycée Pédagogique et à l'Ecole Populaire d'Art, elle a formé de nombreuses générations de jeunes, en leur apprenant à apprécier les vraies valeurs de l’art traditionnel.  En 2010, Gabriela Moga Lazar a reçu la médaille : « Distinction d’honneur », qui récompense son activité dans le domaine de l’enseignement. 

Gabriela MOGA LAZAR a exposé souvent en Roumanie et en France. Son activité artistique a été reconnue par l'obtention de plusieurs prix à des concours d'art décoratif et par des critiques élogieuses dans des revues. Elle a eu également la médaille d’or « Mérite et Dévouement Français ». En août 2017 a eu lieu l’inauguration du buste de Gabriela Moga Lazăr dans son village natal, Vișinelu – Sărmașu (près de Cluj en Transylvanie).  A cette occasion, une exposition de tapisseries a été organisée à la mairie.  Par ailleurs, le Musée Municipal de la ville de Iasi – Roumanie a accueilli une collection des tapisseries de l’artiste.

 

En France, elle a eu une vingtaine d’expositions personnelles :  à  Paris (Mairie du 4e arrondissement, Galerie « Art&Events », Galerie ADA - dans le quartier de Marais, à la Maison des Associations Paris 7e et à  l'Institut Culturel Roumain (Ambassade de Roumanie), à Montrouge, à  Chatillon, à Montigny le Bretonneux, dans le village de Masgot-Fransèches (Aubusson), à Angers, etc..  Ses œuvres ont été reproduites dans plusieurs livres d’art : « Nature Art Today », « Portrait Art Today »,  « La Gazette des Arts », « Le contre-annuaire », « La Bible de l’Art Singulier », « Mémoire d’artistes  », ainsi que dans des catalogues des expositions : « Salon d’automne de Paris », « Art en capital » - Salon des Artistes Indépendants – Grand Palais Paris, « La Triennale de Paris », la revue de l’ARTEC et d’autres.

 

Plusieurs journaux ont remarqué ses expositions, en appréciant cette messagère de "l'âme du peuple roumain" et "l'excellence de ses tapisseries ".

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